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FIDA
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Les Organisations Paysannes dans la dynamique du développement des marchés de demi-gros : cas du marché de demi-gros de Tessaou au Niger
L’un des piliers de la stratégie du Programme de développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF) est l’amélioration des conditions de commercialisation des produits agricoles à travers la construction des marchés de demi-gros, centres de collecte et plateformes de commercialisation des produits agricoles. Ces marchés favorisent les échanges sur de gros volumes de productions issues de plusieurs bassins et sont aussi des lieux de services rendus aux opérateurs économiques. -
Transformation de l'Agriculture en Afrique de l'Ouest : défis et opportunités
La présente synthèse est le fruit des résultats des travaux des ateliers, enrichis de données qualitatives issues des documentations complémentaires issues des bases de données nationales et internationales. Elle est soumise à l’examen critique des responsables des projets du FIDA des pays concernés et des experts ayant participé à l’atelier. Ces échanges interactifs ont été organisés et étroitement coordonnés par le Bureau Sous Regional du FIDA afin de présenter les scénarios possibles pour discussion aux groupes de coordination des partenaires techniques et financiers (PTF) dans les pays concernés et pouvoir reviser et améliorer ces premieres versions des études par pays. -
Étude complémentaire et d’actualisation pour la caractérisation des sites menacés de dégradation et leurs enjeux environnementaux dans les Sept (7) Pôles de Développement Economique (PDE) du Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF) dans la région de Tahoua
Dans le cadre de la mise en œuvre du Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF), le renforcement de la résilience des communautés face au changement climatique constitue une des priorités majeures pour l’atteinte des résultats en matière de développement de l’agriculture familiale. A ce titre, le ProDAF s’est assigné objectif global de contribuer à assurer durablement la sécurité alimentaire des ménages ruraux et au renforcement de leurs capacités de résilience aux crises, tout en inscrivant dans la Stratégie de développement durable et de croissance inclusive (SDDCI).. Le programme vise Spécifiquement à accroitre durablement les productions des petits producteurs agro-sylvo-pastoraux, à améliorer les activités de post-production et de commercialisation des productions des petits producteurs agro-sylvo-pastoraux organisés des régions de Maradi, Tahoua et Zinder. -
Guide d'ingénierie sociale autour des infrastructures
La réflexion sur le contenu d’un guide d’ingénierie sociale intervient après cinq (5) ans de mise en œuvre d’activités de Hadin Gwiwa par les CRA et le RECA.Le concept d’ingénierie sociale apparait de plus en plus indispensable pour appuyer le fonctionnement d’infrastructures dites structurantes. Mais, force est de constater que l’approche se heurte actuellement à des contraintes de méthodologies, une panne de services et beaucoup d’incertitude sur les résultats. Le présent guide est proposé pour recadrer et orienter la suite des activités d’ingénierie sociale afin de : • Convenir d’une compréhension commune sur les terminologies clefs • Impulser la nécessité d’adapter la démarche de l’ingénierie sociale par catégories d’infrastructures ; • Revoir les contenus des activités d’ingénierie sociale pour les adapter aux catégories d’infrastructures afin que les appuis techniques orientent les utilisateurs sur des objectifs de fonctionnement et d’entretien durable des infrastructures. -
Manuel pour le renforcement des chaines de valeur
L’objectif principal de ce manuel est d’exposer et de diffuser la méthodologie pour le renforcement des chaînes de valeur développée par le Siège Sous-régional au Mexique de la Commission Économique pour l’Amérique Latine et les Caraïbes (cepalc). Dans ce document, les concepts, les processus et les bonnes pratiques dérivées de cette stratégie sont expliqués. L’objectif poursuivi est qu’ils servent d’outils de travail, en particulier pour les preneurs de décisions dans le secteur public, les fonctionnaires des organismes internationaux ainsi que les spécialistes du sujet intéressés à disposer d’une méthodologie systématisée et prouvée (voir encadré I.4). Son élaboration répond à des demandes spécifiques, exprimées par les gouvernements de la région, de disposer d’un instrument didactique qui puisse aider à reproduire dans d’autres chaînes les processus dans lesquels la cepalc a participé de manière conjointe. -
Partenariat entre organisations de producteurs et entreprises : leçons à tirer d'expériences récentes en Afrique de l'Ouest et de l'Est
Les partenariats entre organisations de producteurs (OP) et entreprises sont promus comme un modèle de structuration des filières pour intégrer plus équitablement et durablement les petits producteurs et productrices. Différents modèles de partenariat entre OP et entreprises de l’aval (transformation agro-alimentaire et commercialisation) sont actuellement expérimentés en Afrique de l’Ouest et de l’Est: contrat d’achat ou de fourniture d’intrants; systèmes d’agriculture contractuelle plus ou moins intégrés; co-entreprises où l’OP et l’entreprise prennent des parts au capital. Ces partenariats présentent de fortes opportunités, en particulier pour les petits producteurs et productrices et leurs organisations. Mais ils présentent aussi des risques et les cas d’échec sont encore fréquents. Les enseignements tirés de la capitalisation de 4 expériences récentes (Bénin, Burkina Faso, Sénégal et Kenya) peuvent apporter des éléments de réflexion pour améliorer la conception et la mise en œuvre de partenariats véritablement «gagnant-gagnant» entre OP et entreprises. -
Note de capitalisation du processus d’émergence des associations d’usagers de l’eau : AUE
La gestion efficiente et durable des ressources en eau dans les zones d’intervention fait parti des préoccupations majeures d’intervention du projet petite irrigation PPI RUWANMU. Cette gestion durable passe avant tout par une responsabilisation des usagers à travers un appui à leurs structurations et un transfert de compétences dans le domaine de la gestion et du suivi de la ressource. Le mot «RUWANMU » en langue Haoussa qui consacre le nom du projet, trouve sa signification dans ce souci permanent de cette responsabilisation des usagers dans l’utilisation, la gestion des ressources en eau qui, il faut le rappeler conditionne leur exploitation de manière durable à des fins diverses, particulièrement dans les domaines des productions agro-sylvo pastorales et halieutiques. -
Note d'information sur les greniers féminins de soudure
Dans la région de Maradi, la malnutrition affecte une partie importante des femmes et des enfants (63% des enfants de moins de 5 ans ont un retard de croissance ; près de la moitié des femmes présente une anémie ; INS, 2011). Elle est liée à deux causes principales : la production céréalière souvent déficitaire et la responsabilité croissante des femmes dans la prise en charge des besoins alimentaires des ménages (pression sur les productions de leurs lopins des terres et leurs activités génératrices de revenus) et d'autres charges (santé, cérémonies, etc.). L’accroissement de leurs responsabilités est l’une des principales causes de la décapitalisation de leurs biens, qui intervient surtout en cas de crise alimentaire et de départ en exode du chef de ménage. Les charges sont encore plus lourdes pour le cas des femmes chefs de ménages. -
Construction et/ou réhabilitation de 108,44 km de pistes rurales dans les régions de Maradi et Tahoua
Le présent avis d'appel d'offres fait suite à l'avis général de passation de marchés du Ministère de l'Agriculture pour l'année 2015 publié dans le journal Sahel Dimanche N° 1631 du 27 février 2015. 2. Dans le cadre de l'exécution du financement additionnel au Projet d'Urgence pour l'appui à la sécurité alimentaire et le développement rural (PUSADER+) sur financement du Fonds de l'OPEP pour le développement international (OFID) dans le cadre du Programme Niger FIDA , le Ministère de l'Agriculture lance un Appel d'Offres International pour la réalisation des travaux de construction/ réhabilitation de 108,44 km de pistes rurales dans les régions de l"1aradi et Tahoua. -
Projet d'urgence pour l'appui à la sécurité alimentaire et le développement rural (PUSADER)
La Revue d'achèvement du Projet (RAP) proposé pour le Projet d'urgence pour l'appui à la sécurité alimentaire et le développement rural (PUSADER) est menée conjointement par le FIDA et le Gouvernement du Niger en associant les partenaires à travers un processus inclusif. Son objectif principal est de rendre compte des résultats obtenus à travers les interventions du projet à des fins de réddition de comptes et d'apprentissage. -
Document technique relatif au financement OFID3 "Programme de Développement de l'Agriculture Familiale - PRODAF"
Le Niger est un pays enclavé d'une superficie de 1.267.000 km² qui fait partie des Pays les Moins Avancés (PMA) et des Pays à Faible Revenu et à Déficit Vivrier. La population nigérienne a été estimée à plus de 17,13 millions de personnes lors du dernier recensement général de la population et de l'habitat de 2012. Les secteurs agricoles et l(élevage au Niger occupent prés de 80% de la population et représentent 41% du PIB du Niger (en 2007). -
Projet d'urgence pour l'appui à la sécurité alimentaire et le développement rural - Financement additionnel (PUSADER+)
Le PUSADER+ est né de la volonté du Gouvernement de consolider et/ou d'amplifier les impacts positifs du PUSADER dans le domaine de désenclavement de bassins de production, à travers la réhabilitation/construction de pistes rurales. Le projet, basé sur un financement additionnel - OFID (Pret 1559P) de 6 millions d'USD, est entré en vigueur le 21 Février 2014 pour une durée de 3 ans. La date d'achèvement initialement prévue au 31 Décembre 2016 a été prolongée au 30 Juin 2017 à la demande de l'Emprunteur. -
Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF) dans les régions de Maradi, Tahoua et Zinder
Le FIDA intervient au Niger depuis trois décennies dans les zones rurales où la concentration de familles pauvres est la plus importante, par une approche intégrée de développement de bassins versants et de leurs bassins de production, au sein de pôles de développement économique et en collaboration avec les collectivités territoriales. -
Programme de développement de l'agriculture familiale dans la région de Diffa (ProDAF Diffa)
Sur la base des conclusions et mesures convenues entre le Niger et le FIDA dans le rapport d'évaluation à mi-parcours des résultats du COSOP 2013 – 2018, le Gouvernement du Niger a sollicité le concours du FIDA pour le financement et l'extension du Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF) dans la région de Diffa, permettant la transposition des acquis des projets antérieurs et ceux en cours dans la région de Diffa qui est contiguë à la zone actuelle des actions du FIDA. Cette extension utilisera le reliquat de l’allocation budgétaire 2016-2018 du FIDA de 12,5 millions d'USD (50% en prêt et 50% en don). -
Processus d'ingénierie civil dans le cadre de la réhabilitation des marches de demi-gros et centres de collecte
Pour arriver à la construction et à l’opérationnalisation de ces marchés et centre de collecte, le projet a fait valoir sa stratégie qui repose sur une démarche de concertation entre une ingénierie sociale composée des acteurs des marchés "Hadin Gwiwa", et une ingénierie civile pilotée par la cellule infrastructure du projet. Après un processus, d’animation et de dialogue avec les cadres locaux de concertation qui mènent l’ingénierie sociale, un choix a été opéré pour démarrer l'ingénierie civile pour les marchés de demi gros autour des Pôles de Développement Economique (PDE) de Tessaoua, Sabon Machi et Djirataoua. -
Les Démonstration d’initiatives paysannes en élevage (DIPE) dans la zone d’intervention du PASADEM : un outil de renforcement des capacités des agro éleveurs– Note de capitalisation
Faible capacité technique des agro éleveurs dans la conduite de l’élevage, qui se traduit par des hécatombes fréquentes liées aux épizooties, la fréquence des avortements, le retard de croissance des jeunes animaux et le faible gain pondéral chez les adultes, la faible prolificité à cause des espacements entre les mises bas, etc. Toutes ces contraintes impactent négativement les revenus du petit élevage, en particulier dans les ménages vulnérables d’où la nécessité de la mise en œuvre de ce dispositif d’encadrement (DIPE). -
Stratégie du PASADEM en matière de gestion des savoirs dans le domaine de la Gestion Durable de Terres (GDT) – Note de capitalisation
L’objectif est d’améliorer les connaissances des principaux acteurs sur les bonnes pratiques de gestion durable des terres adaptées au contexte local. -
L’expérience du PASADEM en matière de vulgarisation agricole – Note de capitalisation
Maradi est une région vulnérable, au centre des enjeux de sécurité alimentaire où l’agriculture souffre d’un certain nombre de contraintes liées surtout à l’insuffisance de l’encadrement au profit des producteurs et aux aléas climatiques. Le PASADEM a développé dans sa stratégie d’intervention, l’extension et la diffusion à large échelle des acquis du projet de promotion de l’initiative locale pour le développement à Aguié (PPILDA) et ayant démontré leur efficacité en matière de vulgarisation agricole (les Champs Écoles Paysans (CEP), l’appui conseil agricole paysan (ACAP)). -
Rapport de l’étude sur la contribution des activités du ProDAF dans la sécurité alimentaire et nutritionnelle
La présente étude intitulé « contribution des activités du ProDAF dans l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle » est réalisée dans le cadre de la préparation méthodologique de la revue à mi-parcours du ProDAF prévue en début du mois de juin 2019. Les informations contenues dans le rapport découlent des éléments de la revue documentaire (études de référence, document de conception du ProDAF, documents d’évaluation de la campagne agricole, document d’évaluation de la nutrition, rapport d’étude thématique similaire par l’institut national des statistiques, des notes d’informations et bilans d’exécutions des activités du programme etc.) et aussi des données issues de l’enquête sur le terrain au niveau des trois régions d’intervention du ProDAF (Maradi Tahoua et Zinder). Le fil conducteur qui a guidé cette étude c’est la confrontation des indicateurs du cadre logique du ProDAF et ceux de l’i3N de la situation de référence « sans projet » à la situation actuelle « avec projet » pour déterminer la contribution du ProDAF dans l’amélioration de la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans la zone d’intervention. -
Rapport des études de référence sur des Champs Ecole Paysans pluviaux et Maraichers (CEP/CEPM) dans les trois Unités Régionales de Gestion du Programme (URGP)
Financé par le FIDA (Fonds International de Développement Agricole et l’Etat du Niger, Le Programme de Développement de l’Agriculture Familiale (ProDAF), intervient dans trois régions du Niger à savoir Maradi, Zinder et Tahoua. La zone d’intervention du ProDAF est répartie dans 21 Pôles de Développement Economique (PDE), qui est l’unité géographique et échelle d’intervention du programme. La mise à la l’échelle des bonnes pratiques des projets précédents financés par le FIDA (PASADEM et PPI Ruwanmu) dans le cadre du ProDAF passe par l’intensification des champs école paysans (pluvial et maraîcher) qui permettront d’accroitre le nombre de paysans formés à cet effet et à même de diffuser les meilleures pratiques auprès de leurs pairs. Ainsi pour le passage à l’échelle du dispositif de vulgarisation agricole à travers les Champs Ecole Paysan, une étude pour l’établissement d’une situation de référence a été conduite au niveau des trois URGP Maradi, Tahoua et Zinder pour capitaliser les acquis des anciens CEP et CEPM. Le présent rapport consolidé donne le déroulement de l’étude et les principaux résultats obtenus. -
Étude sur le processus de consultation et participation des OP au sein de la société civile rurale organisée dans les régions de Tahoua, Maradi et Zinder
Cette étude prend source dans une volonté du FIDA de mieux connaître le paysage institutionnel des Organisations Paysannes au Niger dans le but de comprendre leur devenir dans les années qui viennent. La description de ce paysage requiert l’utilisation de termes spécifiques définis dans le glossaire. Le premier paragraphe reprend le contexte de l’intervention du FIDA pour les années à venir et les collaborations qu’il souhaite lier avec les OP. Le second paragraphe présente la situation du Gouvernement et particulièrement de l’instance de tutelle des OP, la DAC/POR. -
Des institutions rurales innovantes pour améliorer la sécurité alimentaire
La croissance démographique, l’urbanisation et l’augmentation des revenus continueront à exercer une pression sur la demande alimentaire. Les prix mondiaux de la plupart des denrées de base agricoles devraient se maintenir à leur niveau de 2010, voire augmenter, tout au moins au cours de la prochaine décennie (OCDE-FAO,2010). Les petits producteurs de nombreux pays en développement n’ont pas pu tirer parti de la hausse des prix lors de la crise causée par l’envolée des prix en 2007-2008. Pourtant, la flambée des prix aurait pu être pour eux l’occasion d’accroître leurs revenus en contribuant à améliorer la sécurité alimentaire. -
Intensification durable des systèmes de production en zone sahélienne - Cas du Niger
Leçons du Projet de promotion de l’initiative locale pour le développement à Aguié (PPILDA) au Niger, financé par le FIDA.Les techniques d’intensification durable des cultures sont bien connues des sociétés agricoles d’Afrique sub-saharienne. Toutefois, leur promotion en tant que « pratique de développement » ne date que d’une trentaine d’années, avec des niveaux d’adoption très hétérogènes.Le PPILDA est opérationnel dans la région sud de Maradi au Niger. Il constitue une expérience intéressante d’introduction réussie de techniques d’intensification des cultures en utilisant une approche participative axée sur la demande des utilisateurs et sur le renforcement de leurs capacités à concevoir et à mettre en œuvre des initiatives et des innovations. -
Evaluation des risques agricoles - Focus sur l’accès des petits producteurs aux services financiers, aux marchés et à l’information
Inventaire des initiatives existantes en matière de gestion des risques agricoles, avec une étude approfondie dans les domaines suivantes : accès aux services financiers (crédits et épargnes), accès aux marchés et l’accès et utilisation des systèmes d’information par les petits producteurs agricoles. -
Les jardins de survie au Niger
Au Niger, Christian Blind Mission (CBM) finance un programme de développement inclusif à la base (ProDIB) au sein duquel l’ONG nigérienne Karkara est chargée de mettre en œuvre le projet Jardins de survie. Ce projet vise à améliorer la qualité de vie des personnes handicapées et de leur famille en répondant à leurs besoins essentiels et en favorisant leur participation et leur inclusion dans la société. -
Les achats locaux des vivres : une stratégie pour améliorer la sécurité alimentaire au Niger
Face à l’insécurité alimentaire chronique au Niger, le Programme alimentaire mondial des Nations unies (PAM), en partenariat avec l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), a mis en place depuis 2014 un projet d’achats des vivres auprès des petits producteurs locaux. Objectif : améliorer la sécurité alimentaire et le pouvoir d’achat des agriculteurs à travers l’appui à la production agricole par la fourniture d’intrants, de matériel et l’accès à des formations techniques. L’opération a eu des impacts positifs, en particulier sur l’autonomisation des femmes vulnérables. -
Le sésame au Niger : d’une culture de case à une culture de rente
L’appui aux femmes membres de l’Union Sirba Bonkaney, mené par la Fédération des coopératives maraîchères du Niger et ses partenaires, leur a permis d’être mieux structurées et de renforcer leurs capacités organisationnelles et techniques en matière de transformation du sésame. L’initiative a apporté une augmentation significative des rendements du sésame et des revenus des transformatrices. -
Schéma d’aménagement de la mare de Tabalak - Région de Tahoua – Rapport final
L’étude du schéma d’aménagement des terres, dans le bassin versant de la mare de Tabalak, a été demandée par l’URGP ProDAF -Tahoua au profit du PDE de la commune de Tabalak, dans le but d’asseoir les bases d’un développement économique durable dont les différents axes sont en harmonie avec les ressources naturelles et humaines de cette localité. Le diagnostic mené à travers cette étude révèle que le bassin versant de la mare couvre une superficie de 2238 km2 s’étalant essentiellement sur trois (3) communes, notamment, la commune de Tabalak, de Keita et de Kalfou. -
Evaluation des dispositifs (CEP/ACAP/CEPM) de renforcement des capacités des producteurs dans l’amélioration de la productivité et de la production agricole dans le cadre du ProDAF
Conscient que l’agriculture familiale est au coeur de la production de subsistance des ménages vulnérables face aux changements climatiques, le ProDAF a accordé une place de choix au renforcement des capacités des acteurs à travers les approches les Champs Ecoles Paysans (CEP) pour les cultures pluviales, Champs Ecoles Paysans Maraichers (CEPM), l’Appui Conseil Agricoles (ACAP) pour booster la productivité et les productions agricoles. Après quatre ans de mise en œuvre des approches de renforcements de capacités des producteurs à travers les CEP, CEPM, ACAP, avec les partenaires comme les Groupements de Services conseils (GSC) et les Groupements d’Appui Conseil (GACAP), plusieurs réalisations ont été enregistrées. Ainsi, dans le cadre de la préparation de la revue à mi-parcours du programme, il s’avère nécessaire de procéder à l’évaluation de ces approches pour bien apprécier la pertinence, l’efficacité, l’efficience et la durabilité du dispositif. C’est dans ce cadre que l’étude, objet du présent rapport a été initiée. -
Expérience du Programme Niger FIDA dans la mise á l’échelle de la Régénération Naturelle Assistée (RNA)
Les sècheresses successives des années 70 et 80, couplées à la croissance démographique, ont eu des conséquences dramatiques notamment sur l’environnement, avec une régression significative du couvert végétal, une érosion de la biodiversité et une modification des systèmes de production. Cette situation s’est fait sentir avec plus d’acuité dans la région de Maradi où la pression démographique est la plus élevée du pays, avec une densité dépassant souvent les 100 hts au Km2. Pour s’adapter à cette crise écologique, les communautés locales ont, avec principalement l’appui de l’Etat et du FIDA, initié une approche novatrice de restauration et de protection et valorisation du couvert végétal, à travers l’adoption massive de l’agroforesterie. -
Appui conseil agricole paysan (ACAP)
L’appui-conseil agricole paysan est l’un des outils de vulgarisation agricole participative mis en œuvre par le PPILDA. En particulier, il s’agit de l’outil destiné à assurer la pérennité du dispositif de vulgarisation agricole du projet. L’ACAP agit sur plusieurs contraintes qui caractérisent la zone d’intervention du PPILDA : d’un côté des contraintes liées au milieu naturel, comme la pluviométrie aléatoire et la basse fertilité des sols ; de l’autre des contraintes sociodémographiques, dont la principale est la forte pression foncière qui limite l’accès à la terre pour les catégories les plus vulnérables : les femmes et les jeunes. -
Programme Spécial National Phase II (PSN-II) Evaluation terminale
Cette évaluation terminale du Programme Spécial National phase II (PSN-II) est conduite par le Bureau de l’évaluation du FIDA deux années après la clôture du programme. Elle vise d’une part de répondre à l’obligation du FIDA et de ses partenaires de rendre des comptes des résultats des opérations co-financées et, de l’autre, de contribuer à l’apprentissage par les partenaires du programme, au profit de la mise en oeuvre d’autres projets et programmes en cours et de la formulation de futures interventions au Niger et dans la région. L’évaluation est centrée sur trois dimensions: (1) la performance du programme (pertinence, efficacité et efficience); (2) les impacts du programme sur la pauvreté rurale dans différents domaines ainsi que la durabilité, les innovations et l’élargissement d’échelle ; et (3) la performance du FIDA et des partenaires. Après une mission préparatoire en juillet 2006 et un travail préalable de collecte d’informations dans les sites d’intervention du programme, la mission principale de l’évaluation s’est déroulée du 19 septembre au 17 octobre 2006. Trois sources d’informations ont été triangulées: entretiens avec les acteurs, partenaires, anciens cadres du PSN-II et bénéficiaires, étude bibliographique et observations sur le terrain. En fin de mission, une réunion de discussion a été organisée au Ministère du développement agricole et un Aide mémoire a été présenté aux Ministres du développement agricole et des ressources animales, ainsi qu’au Commissaire au développement rural du Ministère des finances et de l’économie. -
Note d’information semestrielle sur les flux et prix des produits agricoles au niveau des centres de collectes rédigée par la CRA Zinder avec l’accompagnement de l’URGP- ProDAF Zinder
La Chambre Régionale d’Agriculture de Zinder accompagne les cadres de concertation dénommés « Hadin Gwiwa » (HG) au niveau des marchés de Zermou, de Gassafa et de Baban Ruwa dans le suivi des flux et des produits à travers l’identification au niveau de chaque marché d’un collecteur membre du HG qui assure la collecte des produits phares à chaque jour du marché. Le travail de collecte (suivi, estimation, calcul, archivage) se fait à travers la transmission de fiches de collecte au niveau de chaque marché à la fin de chaque mois. Puis les fiches remplies sont remontées par les conseillers agricoles de la CRA pour analyse. Voici l’analyse des données sur les 3 centres de collectes pour le semestre 1 de l’année 2020. -
Rapport sur la pauvreté rurale 2011
On estime aujourd’hui à 1 milliard le nombre de ruraux pauvres dans le monde. Mais il y a de bonnes raisons de penser que la pauvreté rurale peut être combattue avec succès si l’on crée de nouvelles possibilités de promouvoir la croissance rurale et si l’on améliore le contexte de risque. Le présent rapport décrit un programme d’action fondé sur une approche diversifiée de la croissance rurale, que les différents pays doivent reprendre à leur compte et adapter à leurs besoins et aux réalités locales -
Bonne pratique sur l’approche participative basée sur la logique « bassin versant » : Karkara un cas pratique
Le terroir de Karkara dans la commune de convergence d’Allakaye département de Bouza compte une population de 36 295. Il est confronté aux effets néfastes du changement climatique qui se traduisent, entre autres, par la perte du potentiel productif et l’accélération de la dégradation des ressources agro-sylvo-pastorales qui affectent de manière significative les conditions de vie de la population et du cheptel. Les populations y adoptent des stratégies d’adaptation négatives, comme l’émigration dite de « détresse » ou forcée ou des pratiques préjudiciables à l’environnement, comme la coupe abusive de bois, la mise en culture de terres marginalisées sans apport de fumure, etc. L’occupation incontrôlée de terres engendre très souvent des conflits relatifs à l’utilisation des ressources naturelles, comme l’eau et les pâturages, opposant ainsi les agriculteurs, les éleveurs et les pasteurs.